Les voyageurs de l’hiver
ont froid sous ses poutrelles.
La chaleur se paie cash d’un café.
Refuge dans la salle des guichets
où il fait trop chaud.
Choc thermique désagréable
au sortir de ces endroits.

Et pourtant l’été finissant,
sans ventilation encore
dans les boutiques,
il y faisait torride.

Jamais contents.

Produit en atelier  Imaginaction 13 02 10; retouches ultérieures.


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Aphorisme, comme ça...

« La retraite est une chose merveilleuse,
qui libère de terribles puissances.
& elle donne au silence de grandes douceurs. »
Gilles Deleuze, dans une lettre adressée à Arnaud Villani,
publiée dans L'abeille & l'orchidée, p. 149.

 

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