Quand le vivre se retire d'un corps,
nulle résonance ne disparaît.
C'était un leurre.
Tant qu'il pulse, elle émet.
Dès qu'il cesse, elle s'émeut
puis s'en va,
propulsée par le dernier souffle,
tel l'épuisement sonore du silence.
Le corps ? Un vecteur, sans plus.
Chaque fin est singulière.
La beauté du vivre est sa contingence.