Hommage
À l’aube de la ville,
Entre pudeur et terrien,
elles avancent.
Leur ardeur tient
dans la discrétion
de leurs carnets.
Une force régénère
leurs plumes mensuelles,
dans la saveur du « reviens ».
Communautés de pensée
Vous trouverez dans cette section la trace plurielle d'ateliers de poésie animés par Karel Logist. J'étais un participant parmi d'autres: L'atelier de la rue Trappé (2009-2010), La Fabry-que poétique (2010-2011) et Les poésies de la Fabry-que (2011-2013). Cette partie du site s'ouvre à d'autres plumes que la mienne. Je vous invite à les découvrir. Chacune a sa tessiture. Bien sûr, le point commun, j'évite l'expression "point de mire" qui lui siérait peu, le poète fédérateur en est Karel Logist.
« Le nulle part des poètes porte plusieurs noms. Cet habitacle est innombrable. Par exemple, il y a longtemps, nous autres poètes, que nous sommes dans la lune, et c’est même avec plaisir que nous y accueillerons les touristes, à quelque nation qu’ils appartiennent. » Extrait des lignes mises en exergue du film (1959) de Jean Cocteau: Le testament d’Orphée ou ne me demandez pas pourquoi. (L'éditeur in Roger Lannes (1945, rééd. 1964), Jean Cocteau, éd. Seghers, coll. Poètes d’aujourd’hui, n°4)