Place de l'Homme dans cette vastitude
C'est muni du sentiment diffus que l'Homme n'est rien dans cette vastitude observée par les astronomes que j'ai décidé de me pencher sur ce qu'ils ont à nous dire sur notre place. Elle est toute toute petite, mais il y en a quand même une, sinon nous n'existerions tout bonnement pas.
Une illustration de cela se trouve ici. Une image vaut toujours mieux qu'un long discours... Je vous mets juste celle qui m'a le plus marqué, mais les 25 autres valent également le détour:
(ajout 5 11 15)
Dans ce nouveau recueil d'articles, je vous propose d'accompagner un novice dans une approche mi-émerveillée, mi-attentive, à mesure de sa progression liseuse dans cet univers. L'hyperlien sur "liseuse" aboutit à un texte qui dit ce qu'est la lecture à mes yeux.
Il s'agit vraiment des premiers pas faits très humbles dans cette matière neuve. J'essaie simplement de m'entourer d'un maximum de concepts définitoires afin de prendre petit à petit conscience, s'il est possible, de l'arborescence notionnelle* qui régit cette science fondamentale. J'en ignorais tout avant d'entreprendre ce voyage. Les « beaux restes » d'une pratique documentaire rigoureuse sont toujours de mise...
N'héistez pas à reparcourir les textes déjà publiés car à mesure que les données s'accumulent, ils seront mis à jour, précisés, corrigés.
Voyez la page d'accueil de ce site pour apercevoir ce qu'est un arbre notionnel, celui du site (Ah oui tiens, va falloir que je le mettre à jour pour y intégrer le recueil Astronomie !).
La lecture, pour la première fois à 60 ans passés, d'ouvrages de vulgarisation scientifique en astronomie, révèle petit à petit un univers de dimension infinie; l'approche ici est intellectuelle, plus réfléchie et moins immédiate que l'approche directe, sensorielle et instinctive poursuivie par ailleurs sur ce site dans Un écartement convenable. (d’après TXT 440-445, L’intelligibilité de l’univers).
Prendre conscience mesurable de la taille de l’homme par rapport à l’univers observable…. C’est quoi, exactement, d’être tout petit rikiki ? Acquérir cette échelle de comparaison débouche évidemment sur la relativisation absolue… et conforte l'humilité de cet écartement à la fois convenable et du monde.
La démarche entreprise pour comprendre un peu mieux l’interdépendance existant dans l’univers « inspire davantage d’émerveillement, de révérence et de respect devant sa beauté & son harmonie. Sa magnificence ne laisse jamais le scientifique indifférent. » TXT 771 (science et poésie).
L’ardeur mise à essayer de comprendre approfondit la poésie, la magnifie. S’intéresser à cela, c’est perce/entre/voir la globalité cosmique, c’est:
To see a world in a gram of sand
And a heaven in a wild flower,
Hold infinity in the palm of your hand
& eternity in an hour.
W. Blake (1757- 1807) cité par TXT 772, article Science et poésie.
Ça, c'est notre galaxie. Elle « fait partie d’un groupe local. Celui-ci contient deux galaxies normales:
- notre voie lactée (nulle possession dans ce notre, car c'est nous qui lui appartenons !),
- la galaxie d’Andromède
- et une trentaine d’autres galaxies naines plus petites et moins massives. Elles recèlent chacune un milliard de soleils, au lieu de 100 milliards de soleils qui peuplent les deux galaxies normales.
Parmi cette trentaine d'autres galaxies naines faisant partie de notre groupe local,
- le grand nuage de Magellan,
- & le petit nuage de Magellan
qui sont en orbite autour de la voie lactée à quelques 170.000 années-lumière. » (TXT 369)