Une larme consentie ensorcèle
sa trace sur la joue, en apposition,
par un fin frémissement de sel

né sans le vouloir d'une émotion
qui se dénude
un peu comme se pèle l'oignon.

Sa source est au cœur même du prélude
à ce lent écolage de l'esprit
qui chavire quand la pensée l'élude.


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