Le parcours dans les entrailles du métro parisien est long, parsemé de 115 marches à gravir et à descendre (toutes gare Montparnasse, d'ailleurs). Le bon équilibrage de la quinzaine de livres acquis chez Mollat et auprès de La Machine à Lire (autant éviter cette inepte tabelle belge qui ne profite qu'à de grands groupes financiers) entre valise et sac à dos est essentiel. Un sanglage ferme dans le fond de la valise leur évitera de voyager vers le fond...
Le temps disponible rend le trajet facile, au rythme de soi, sans urgence, sans se laisser mener par cette fébrilité toute parisienne.
Si jamais je retourne un jour à Bordeaux, si jamais vous alliez à Bordeaux, il existe un TGV au départ de Lille. La solution me paraît de loin préférable et aurait dû m'être suggérée par l'employé de la gare à l'achat.