Nul trop-plein.
Tout est flux.

Le vide, une sensation
vite oubliée.

Comblé par la grâce
de ces chemins insoupçonnés.

Pleine quiétude
de jours chauds.

Plénitude entière,
nul épuisement en vue.

L'énergie se meut
aux creux du corps.


François Cheng révèle un autre type de vide, le vide médian:
Extrait: Le livre du vide médian, Albin Michel, 2004. (Rabat arrière de couverture)


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