[Si vous êtes sûr-e-, ô lectrice, ô lecteur, de n’aller point voir ce film, voici la suite de la partie 1…]
La première d’une pièce de Tchékov voit une intrusion fort … théâtrale d’acteurs en cape rouge jouant le rôle des cardinaux venant applaudir le pape… en devenir à partir du parterre…
Il rejoint le Vatican après sa plongée dans Rome et se montre finalement à « la » fenêtre. Beau discours d’inacceptation de poste, qu’il a pourtant accepté avant de prendre conscience de la portée de son acceptation, si peu en congruence avec son être vrai, dans un cri profond…
L’audace du scénario, le choix des scènes (elles deviendront culte), de l’acteur principal et le réalisateur lui-même qui intervient comme meilleur psychanalyste appelé puis séquestré pour conserver le secret. À défaut de pape à traiter, il devient coach de volley et apprend la triche intelligente à trois cardinaux médusés de s’y être laissés prendre…
Ah oui, une observation un peu désabusée qui n’a rien à voir: les spectateurs des Grignoux ont très majoritairement perdu la politesse due au générique final… Tout fout le camp ! L’inévitable rançon d’un succès incontestable ? Dommage…