Nos « académies » d’enseignement supérieur tendront inéluctablement vers « l’avant-garde » que constitue l’enseignement supérieur britannique.
Une lettre d’Ian Pears à la London Review of Books détaille les aberrations de la mise en place d’une gestion managériale de l’enseignement.
Nos amis Britanniques ont toujours été des précurseurs dans la déglingue…
Si nous pouvions ne pas nous en inspirer. C'est évidemment fort mal parti avec la création de "patrimoines" à gestion séparée au sein de chaque Haute École. Un jour, les clés des bâtiments leur seront remises. L'argent de l'entretien sera à ponctionner dans les maigres fonds de ces mêmes patrimoines. Ils n'avaient pas été prévus pour cela. Et ils ne serviront qu'à cela.
C’est entre autres parce que je n’y croyais plus que j’ai demandé à quitter la nef folle.
25 03 10 14h50 et 27 03 10 15h20


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