Selon le bouddhisme tantrique,
ces vents-racines émancipent.
Adossés aux bases de nos bises,
Ils soufflent la vie,
influent sur nos humeurs,
siègent en nous, en faisant
flamboyer le feu intérieur.
L’ingéré intègre le flux.
Il y a même ce vent,
il ne coule par les narines
qu’au moment de la mort.
Source: Guéshé Kelsang Gyatso, « Un Bouddhisme Moderne – Volume 2 : Le tantra » est sous licence Creative Commons CC BY-NC-ND 3.0 (Paternité - Pas d’Utilisation Commerciale - Pas de Modification 3.0 France)