La neige mure le jardin dans un silence cristallin,
En vagues irisées elle épouse des rondeurs clandestines.
Sous le lilas, les graffitis des merlettes qui trépignent.
Un souffle sur la vitre embue la scène du chat assassin,
Statue d’ébène dont seules frissonnent les babines.
Un doigt gomme la buée … déjà il savoure son festin …


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