La passion affleure au détour d’un regard. La peau s’effleure: la joie s’y répare. L’action met à l’épure l’ouvrière mémoire déposée sur le papier par d’antiques sourciers.
L’écoute frémit au diapason de la vie. La peur palpite au lointain ennemi. Dans ce cocon à l’appui, souterrain et fertile, l’homme qui va fascine le sentier. Il lui sourit. Le tournant l’éloigne de la maison. Il y pense. Il s’y penche, réjoui par les battements de son cœur. La terre tressaille, l’ombre du volcan, sa pulsion l’y pousse. Il s’en émeut et modère son pas.