S’observer. Façonner le chemin qui mène à soi, sans relâche mais avec tendresse, passionnément et sans illusions. Pourtant, tout reste présent, comme dilué par le temps qui s’écoule.
Les sarments de l’ancien crépitent encore dans le feu du désir, comme s’ils étaient éternellement donnés; comme si des passages n’avaient pas encore été identifiés. Découvrir ce qui dilue, recouvre, éloigne.
19.06.11, poli le 27.08.11.
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Le chemin qui mène à soi façonne sans relâche, mais avec tendresse, l'observatoire. Il frémit sans illusions. Tout reste présent, comme dilué par le temps qui s’épanche.
Les sarments de l’ancien crépitent encore dans le feu du désir, comme s’ils étaient éternellement donnés; comme si des passages n’avaient pas encore été identifiés. Découvrir ce qui dilue, recouvre, éloigne.
30.12.14.
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