Y trouver
source contente
d'être.
Plaisir pris
entretient
ce flux.
Pavoiser
n'y ajouterait
rien.
L'élan intérieur
dit assez
du chemin.
Car il pose une trace,
poursuit l'ombre
d'une lumière
prompte à structurer
une surface
en volume.
Elle capte,
attentive à la caresse
qui l'accomplit.
Branches nues
ventilent l'espace proche;
le merle sautille.
Éveil fébrile:
une connivence
spatiale.
Rien ne corrompt
la magie
d'une approche branchée.
Le silence
intérieur
confirme:
il y fait paisible.
di 13+03=16, 7h30