Le soleil s’infiltre,
trace une ligne
magnétique
à l’arrière du jardin,
scintille sur le chasse-
-mal-les-mouches.
Proche, il se penche
sur d’autres couvertures,
affiche la fierté
de l’arbre à papillons,
s’ingénie à
colorer de bleu
des bouts d’espace
entre les nuages.
Il va, il vient,
à la guise de la
couverture qu’il
tend ou écarte,
sans prendre le temps
d’adoucir l’air.
Il a mieux à faire :
dissiper l’eau…
cet éternel combat !