Le dialogue intérieur prime.
Le dialogue intériorisé,
sous-vocalisé,
sans vibration imprimée
aux cordes vocales
semble retenir davantage
l'activité de soi.
Le dialogue intériorisé
veille à ne pas diaboliser le temps
dont il pourrait arrêter l'écoulement
si je n'y prenais garde.
Le dialogue intériorisé
fluidifie le temps
en emplissant le moindre interstice
de sa matérialité pourtant
bien impalpable.
L'ultérieur de chez soi
prend soin du corps
dont le confort importe.