La poésie  
sans méandres inutiles,  
coule d'une rythmique  
propre à son essence.

Le roman dilue les moments.
La poésie les ramasse,  
les pose sur des sons  
mis à voguer  
sur une mer de maitrise  
taillée dans l’éphémère  
de sensations rendues  
à leur intégrité première.

« La poésie n’est pas la tempête, pas plus que le cyclone. C’est un fleuve majestueux et fertile. » Lautréamont, Poésies I, p. 329 dans l’édition GF.

Le roman devient poétique  
quand il pose l’intrigue  
sur les sons de l’auteur-e-.


sd retrouvé au pied d'un lit, notations d'un éveil 2011...


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