Ces monolithes intérieurs
aux certitudes pétries
de dogmes serviles
ont dispersé leur humanité
en s'oubliant, prisonniers
d'un corps qui aspire
à échapper à l'enfer
saturé de cendres
désoxygénées.
Leur souplesse absente les enfreint.
Rien en eux n'écoute
jusqu'aux rappels par le corps.
Il est leur vrai maitre,
pourtant ils le nient
jusqu'à se détruire.
Leur corps les encombre.
Il aspire à une paix promise
au-delà des décombres.
L'autre-côté-du-miroir
des trois monothéismes du Livre
est pavé de soumissions.
N'est pas
Lewis
Carroll
qui veut.
Il en est
dont on ne
revient pas.