La fascination est femme.
L’esthétique du corps,
les appâts que l’homme n’a pas,
de tous temps, ont fasciné,
entretenu l’imaginaire masculin.
Dès que de la religion
l’art s’est libéré,
il n’en fait plus guère mystère,
l’artiste, son sujet principal,
c’est le corps de l’altérité.
Et quand la femme se laisse
prendre par ses propres obsessions,
le nu masculin émerge puissant,
fascinant pour elles…
Peinture davantage que photographie,
pour la part d’imaginaire
qu’elle laisse ouverte à l’œil
qui la détaille.