Un samedi automnal d’octobre,
la route d'avant les flux pressé
survient, plaisir presque solitaire.
La purée de pois sauvegarde
une survie humaine sécurisée
& nimbe d’un élégant flouté les pylones
portant électrons si nucléaires
- mais pourquoi laisse-t-on faire
de façon si impuissante
avec des mises en scène
pour les quotidiennes
médiatiques, souvent privées
& largement acquises
au lobby nucléaire -
vers des terres tapies dans la vallée.
Elle préserve au flux pétrolier une
perspective claire sur le tarmac.
La conduite matinale est fort plaisante,
tendue vers une exigence au service
de la légère mue d’un havre qui
se corrige sagesse maitrisée.
Manque encore la cohérence
finale qui sera sans effet
sur cette planète-serre
qui héberge l'Homme
avec une bienveillance
qu'ils sont trop peu encore à considérer.