Le vent levé du midi
savoure par rafales suivies
les frôlements appuyés
qu’il consent aux feuillus.
Chacune est suivie
par quelques détachements.
Le vent énerve les ramures
comme pour leur signifier
que jamais l’immobilité
ne leur sied.
Le vent levé du midi
savoure par rafales suivies
les frôlements appuyés
qu’il consent aux feuillus.
Chacune est suivie
par quelques détachements.
Le vent énerve les ramures
comme pour leur signifier
que jamais l’immobilité
ne leur sied.