La morosité sabbatique
cantonne l’extérieur
en vision singulière,
entre grisaille assumée,
hors soi, et chaleur
qui pétille
d’une flamme opportune.
De légers traits d’eau
impriment au paysage
un murmure lancinant.
La peau du Bouddha
semble reluire
de l’eau qui le caresse
en chemin.