Les feux de l’orage,
ces jeux de l’outrage,
ont flétri la rose.
Elle va chiffonnée, sans pose.
Pétale à pétale
L’arrogance s’effeuille
Le prochain écueil
Lui sera fatal
Première strophe Jean Mertens, seconde Monique Tomson.
(Il va de soi qu'une rose ne se montre pas chiffonnée:
la voici au temps d'avant l'orage.
Mais Ronsard avait raison...
sur les roses du moins!
Les femmes mignonnes, je ne sais...)