La chaleur se respirait à petites doses,
comme s’il s’ était agi de se frayer un passage
raisonné dans cette densité vespérale.
L’air prendrait des atours de langueur.
La chaleur se respirait à petites doses,
comme s’il s’ était agi de se frayer un passage
raisonné dans cette densité vespérale.
L’air prendrait des atours de langueur.