Ça, pleuvoir, IL sait faire.
Comme si
transformer nos terres

en re/sources
était le seul moyen
dont IL dispose

pour nous contraindre à apprécier
les risques que nous laissons
couler à notre Terre

en nous comportant
de façon si négligente
à son égard.

IL nous force ainsi
à repenser nos actes
en reprenant les choses à la racine.

Trop d'entre nous
n'y voyons goutte
à travers

les multiples signes
qu'IL
nous adresse.

C'est à nous de nous comporter
différemment,
de façon radicale et définitive

car ce qui nous agréait
ne tenait pas compte
des effets délétères/ délé-Terre

que nos actes/non-actes,
insouciants et dévastateurs,
ont provoqués.

Nous avons été, nous sommes,
beaucoup trop insoucieux
du seul monde que nous avons.

Nous ne pouvons
plus
continuer ainsi.

Le climat (IL),
nous l’avons
façonné

à la démesure
de nos égos
surdimensionnés,

nous l’avons déréglé
par absence
d’évaluation préalable des risques

suite
aux actes techniques
que nous posions

en lien avec

les avancées scientifiques.
La vapeur puis l’électricité,
des apports très confortables.

Les énergies nécessaires
à leur production,
nettement moins:

le charbon s’affaisse*,
quand les galeries
sont abandonnées;

le nucléaire, ça merdre
en fonctionnant
& quand ça s’arrête.

Autrefois, les moulins
usaient du vent, de l'eau
pour moudre le grain.

Nos éoliennes:
autre terme,
même principe.

L'énergie qui les anime,
ressource
infiniment disponible.

Les aubes ailleurs
moulinent
leur électricité.

 


*Exemple: les dégats miniers dans le fond de Seraing; la rue Cockerill, perpendiculaire à la Meuse, est à 7m et plus sous le niveau d’étiage du fleuve !

 


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