Ça, pleuvoir, IL sait faire. Comme si transformer nos terres
en re/sources était le seul moyen dont IL dispose
pour nous contraindre à apprécier les risques que nous laissons couler à notre Terre
en nous comportant de façon si négligente à son égard.
IL nous force ainsi à repenser nos actes en reprenant les choses à la racine.
Trop d'entre nous n'y voyons goutte à travers
les multiples signes qu'IL nous adresse.
C'est à nous de nous comporter différemment, de façon radicale et définitive
car ce qui nous agréait ne tenait pas compte des effets délétères/ délé-Terre
que nos actes/non-actes, insouciants et dévastateurs, ont provoqués.
Nous avons été, nous sommes, beaucoup trop insoucieux du seul monde que nous avons.
Nous ne pouvons plus continuer ainsi.
Le climat (IL), nous l’avons façonné
à la démesure de nos égos surdimensionnés,
nous l’avons déréglé par absence d’évaluation préalable des risques
suite aux actes techniques que nous posions
en lien avec
les avancées scientifiques. La vapeur puis l’électricité, des apports très confortables.
Les énergies nécessaires à leur production, nettement moins:
le charbon s’affaisse*, quand les galeries sont abandonnées;
le nucléaire, ça merdre… en fonctionnant & quand ça s’arrête.
Autrefois, les moulins usaient du vent, de l'eau pour moudre le grain.
Nos éoliennes: autre terme, même principe.
L'énergie qui les anime, ressource infiniment disponible.
Les aubes ailleurs moulinent leur électricité.
|