L’été dénude
et rétrécit
les tissus des femmes.
Les décolletés plongent,
se débrident,
les jupes remontent,
les jambes, les bras,
les nombrils
s’affirment nudité.
Tatouages affleurent,
L'art est parcimonieux
ou ample mais irréversible.
Le bon goût
permanent
ne pullule pas.