Le jour éveillera l’ombre portée.
Il en est au tracé noir des contrastes,
sans autre apparat que les ramures.
Le nid haut perché apaise les pies.
Ce bleu soutient le regard enfoui.
Vu de là, je fais tache lumineuse.
Pâleur bleutée éclaircit le levant.
Entre le feu et l’obscur, l’arbre s’étend.
Ce bleu ne prédit rien des nuages.