Le gel fait à la Terre en
bain de soleil une blanche
splendeur lumineuse que
l’oeil avide collectionne.

Il emperle les ramures
trapues proches de leurs
nourricières racines, ils

caressent l’espace de leurs
essences précieuses au monde
qui les retient avec bienveillance.


* Le titre m'a été suggéré par la lecture que M. Piccoli fait d'extraits des Essais de M. Montaigne, livre II, ch. 17, Sur la présomption.
Selon ce traducteur (?), cela sera transi dans le texte lu par M. Piccoli pour les éditions Frémeaux et saisi pour A. Lanly, traducteur de l'édition Gallimard, collection Quarto.


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