Le regard épouse l’avers
de jeunes feuilles
éclairées par
les premiers rayons
dorés sur tranche.
Le diaphane
se propage
avant l’homogène,
qui lisse la
transparence du matin.
L’œil s’amuse
à repérer
les taches discursives
de lumière
qui s’installent.
Le vent fait frétiller
les pendantes des bouleaux,
comme si
ce paysage familier
se dandinait d’aise,
rendant grâce à Râ
pour ses bontés
en subtils refrains.
Enlacer formes, rayures,
traces, taches,
traînées, poursuites,
contrastes.
Repérages:
profondeur de champ,
ligne de fuite,
amalgame intuitif,
la vie quoi !