Mignonne, allons voir s’il a pris la pose
là où l’œil glisse sur la prose
pour éclairer la page
d’un feu qui repose.
Mignonne, allons voir la teinte qu’il impose
au monde, à tous ces hommes moroses
qu’il emmène dans son sillage
sur un esquif trainard et porose.
Ce texte fait partie d'une série (Tarder) dispersée dans divers recueils sur ce site: Flèche du temps, S'attarder, Hâte-toi, Mignonne,Tarder,