La chaise longue,
à même l'herbe tendre,
accueille mon innocence mutine.
J’y implore l'incendie
des constellations ambiguës
offert par les cieux tonitruants.
Et mon âme énergétique
pulvérise la malédiction miniature
qu'un ouvrage précédent,
qu'un orage président,
a laissé traîner
dans mes nerfs endoloris.

1994 retouché 24 03 10


Recherche

Statistiques

  • Membres 4
  • Articles 3613
  • Compteur de clics 9542614