Mer de feuilles encouragées
à ces jaunes diversifiés
par la plainte implacable
de ce méchant froid
qui les a saisies à cœur.

Le repos naît du chant simple
des ces variations paisibles,
lumineuses, déposées comme
un aliment de conserve
pour la faune souterraine.



Le regard, tout acquis à
la joie, caresse lentement
cette prairie accueillante
malgré un ciel grisonnant,
bien dans l'air du temps flétri.

Texte lu lors du troisième atelier/poésie de Karel Logist pour Imaginaction.


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