Glisser dans le courant,
se laisser porter par le feu
est propice au tantra.
Mon retrait à mi-temps du monde :
le rhume suit son cours,
m’ancre davantage
dans la certitude
d’une voie trouvée,
apaisée, riche, légère.
Les tantrades effleurées
me guident vers la fin de crise.
Me relaxer, inhaler
drainer un mucus
s’en tenant aux sinus.
Le corps armuré de tantra
s’autorise ce flux,
le guidant vers sa fin
sans l’urgence propre
aux impatiences râleuses.
Il s’anticipe toucher
cicatrice, caresse
projection.
Il aspire aux senteurs
proches : eucalyptus !