Envoyez donc TOUTES les factures au pourcent qui prend l'avion
comme nous on prend le bus ou le métro et le train.
Ben oui, la promiscuité,
mais on n'a pas le choix, nous.

 Y z'en ont trop, du fric, de toute façon.
Y savent qu'en faire...

Bien sûr, cela demanderait de nos dirigeants politiques

des moyens sophistiqués pour obtenir qu'ils crachent au bassinet.


La plupart n'ont, à dessein, tout simplement pas la carrure..

"C'est fait pour", comme disent les enfants.

Et quand y en a un qui s'y colle vraiment,
comme le ministre grec des finances
Yanis Varoufakis,
y s'prend tout l'gotha dans les gencives !
 
— Ouaip,
à croire que le personnel politique
a été spécifiquement mis là pour ça.
Non, hein ?
— Ben si, tiens !

 
D'où, par voie de conséquence:
ne vous étonnez pas si c'est leur image dans les médias
qui les préoccupe un max, les politiques.


Y zont rien d'autre à se mettre sous les dents, les pôvres.
 
Les armées d'avocats qui protègent le %,
eux sont très bien rémunérés - ne vous inquiétez pas pour eux ! -,

recourent au harcèlement judiciaire contre les États
Si jamais ils ne gardent pas le doigt sur la couture du pantalon,
au garde à vous, encore bien.


&, en parallèle, les États se sont eux-mêmes dépouillés

(Mais qui a bien pu leur donner ce plan de vol ?
On se le demanderait bien, hein.)


d'être en capacité d'augmenter
les moyens financiers propres de l'État
dont ils ont pourtant la charge

en dégraissant drastiquement la fonction publique,

 
avec, pour résultat principal,

de s'impuissanter eux-mêmes à faire rentrer l'impôt
qui est la ressource financière principale de tout État.
 
Du coup,

ne pas s'étonner
que c'est constamment sur NOUS,
leurs électrices et leurs électeurs,

que les États se retournent
pour NOUS faire cracher au bassinet,

au risque même
 
de NOUS mettre en faillite personnelle souvent,
avec, en prime gratos,
le sourire de la crêmière.
 
Les constats alignés ici résultent
d'une analyse plus sophistiquée que cela ne se lit à l'ordinaire,
dans la presse quotidienne & périodique mainstream,
des mécanismes économiques à l'oeuvre depuis des décennies.
 
Cette analyse remonte à la racine du mal,

en cela seulement, elle est une analyse radicale,

en désignant plus communément que cela ne se pratique traditionnellement,
ce qui doit être éradiqué,

autrement dit en pointant du doigt là où ça fait mal.


Je ne suis pas, n'ai jamais été, & ne serai au grand jamais
un vilain coco
& ni'ai jamais voté
ni ne voterai jamais pour le PTB.

Je suis, c'est la simplicité même,
un féru de philosophie qui, à force,
a peut-être bien quelque peu appris
à raisonner dans certains livres.


 

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