Colloïdaux et intemporels,
l'oeuvre de J. Abeille colle à la peau
comme un tissu
gorgé d'une pluie de mousson.
Ces romans, ces nouvelles sont marquants.
Indélébiles, obsédants;
linguistiquement adéquats,
ils détrempent de splendeurs
nos univers ordinaires.
Il en va de certaines aventures éditoriales comme des bonnes compotes: le temps de cuisson est ce qui importe. Les Contrées ont enfin croisé un éditeur qui a de la suite dans les idées et s'y tient: Le tripode. Merci de tout coeur à cette jeune maison d'édition.
Plusieurs parutions marsiennes ravissent l'amateur du mondes Contrées:
- Le dépossédé cerne les territoires de Jacques Abeille, suite à un colloque qui s'est tenu en 2014. D'amples citations de l'Oeuvre parsèment les articles. Juste un petit bémol: elles sont imprimées dans une couleur dont le contraste nécessite le renfort d'une lampe assez proche pour des yeux comme les miens... |
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- Le monde des contrées, présenté sous un Cet ouvrage relié constituera désormais le Les contours du monde des Contrées est ici balisé |
Cet album (quelques indications supplémentaires sur La forme épistolaire que Jacques donne au texte donne Cette danse de la réconciliation ouvre des perspectives L'éditeur situe La grande danse entre les Chroniques La très grande cohérence du cycle des contrées suscite Je me demande comment vous faites pour ne pas vous |
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« Les Voyages du fils est ici présenté dans une nouvelle édition, revue et augmentée », nous dit le site de l'éditeur dont il est plaisant de souligner ici le travail de fond qu'il a entrepris depuis quelque temps avec l'oeuvre majuscule de J. Abeille. Une brève comparaison des deux éditions figure ici. |
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« Le roman est enrichi des illustrations de Pauline Bernenon » dont on sait la première carte géographique des Contrées autour de Terrèbre, l'envers d'un Bordeaux, ville où vit l'auteur. |
Il vous est loisible de lire les chroniques présentes sur Nulle part dans le chapitre consacré à Jacques Abeille: Ars poetica, Contrées et Éros.
Voici ce qu'en disent d'autres sites sur le ouaibe, dûment assemblés par une recherche via Startpage, le module anonymisant de recherche en ligne (powered by Google...). Car la plume de J. Abeille visiblement inspire un petit monde ...
Esprits nomades | La quête sans fin des marges du monde par Gil Pressnitzer |
Le Matricule des Anges |
Un entretien avec l'auteur sur Le veilleur du jour fin 2007, par Jérôme Goude. |
Le blog Fornax | Les yeux de l'imagination, par Saturnin Lassicope; le même site livre aussi quelques raretés imprimées sur les presses d'icelui. |
Ivanne Rialland aborde le surréalisme mémoriel de Jacques Abeille avec compétence sans que sa rigueur universitaire rende sa prose obèse de convenances inutiles. Sa plume s'y enflamme. |
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La Nouvelle Revue Moderne |
lui consacre également plusieurs articles inspirés; ne vous laissez pas rebuter par ces noirceurs bleutées assez illisibles: cliquez... l'enchantement est au rendez-vous, comme ces Légendes rebelles. |
La liste pourrait encore s'allonger.