Cinq ans après le décès de Jacques Sternberg, en 2011 donc, Sandrine Leturcq consacre à son oeuvre une critique littéraire qui a bien balisé l'ensemble de l'oeuvre sternbergienne. Sa formation initiale de professeure-documentaliste en lycée lui a permis de structurer son approche littéraire de l'auteur en une table des matières qui aborde successivement:
- Le conte terrifiant chez Sternberg (formes narratives, effet loupe et les vertus de l'ellipse
- La thématique (Topoï contemporains: la peur de l'autre, l'homme aliéné, la fuite du temps); (Topoï romantiques: refus de la vie moderne, rencontre fatales et re-la fuite du temps) et la mort-provoquée-inéluctable-sans lendemain comme seule issue à ce monde
- Une "forme-sens" du rien: théatralisation et Même son oeuvre est une réécriture d'autres textes
La biographie de l'autrice a depuis évolué: elle tient/tenait ? un blog dans un recoin du site de la maison d'édition qu'elle a créée en 2019 avec deux autres personnes: Carnets de sel.