Le centenaire de la naissance de l'écrivain d'origine anversoise donne l'occasion à la revue de le mettre à la une avec un article de Nicolas Stetenfeld intitulé: Jacques Sternberg à la frontière des genres. Il vous est loisible de le lire en suivant ce lien.

La synthèse qu'il y opère, facilitée par le recul qu'offre le temps à une plume connaisseuse de l'oeuvre, nous permet la mise en perspective synthétique d'une oeuvre protéiforme. La "froide et effrayante lucidité" de la plume sternbergienne est mise en avant. Sept couvertures d'ouvrages illustrent l'article de cinq pages en tête de revue, la huitième mettant en exergue la biographie que son fils lui a consacrée en 2014.

Les sous-titres de l'article sont:

• Des débuts marqués par la guerre
• Les premiers pas dans l'édition française
• L'attrait de la science fiction
• L'arrivée chez Minuit
• Écriture sentimentale et érotique.

Onze notes de bas de page informent notre lecture, attirant notamment notre attention sur l'ouvrage que Sandrine Leturcq a consacré à l'auteur en 2011: elle l'avait intitulé Jacques Sternberg, une esthétique de la terreur publié aux éditions L'Harmattan.