"Là où il n’y a pas de toi, il n’y a pas de moi", Feuerbach
Nous en aller marcher sur le sentier des combes
Dans la nuit tôt levée, sans même une lune
En quartier pour déchirer la brume
À l’heure où les ombres se fondent
La tienne à la mienne enlacée
Nous en aller marcher dans cette nuit féconde
Là où nos rêves échevelés exhument
Leur haleine givrée et leur halo parfume
La solitude grise qui surplombe le monde
Ton ombre à la mienne enlacée
2/11/2011