Sully Prudhomme (1895) Ici-bas Ici bas tous les lilas meurent (8) Tous les chants des oiseaux sont courts ; (8) Je rêve aux étés qui demeurent (8) Toujours … Ici bas les lèvres affleurent Sans rien laisser de leur velours, Je rêve aux baisers qui demeurent Toujours … Ici bas tous les hommes pleurent Leurs amitiés ou leurs amours ; Je rêve aux couples qui demeurent Toujours … |
Pastiche Là bas |