Le vieillard dans son rocking-chair,  
En équilibre à la frontière du monde
Les yeux bleus délavés,  
Pâle reflet de l’au-delà,
Le filet ténu de sa voix…
La pendule tricote son linceul
Elle a presque fini…
Il ne tient qu’à un fil
E pericoloso sporgersi

L’enfant sur son cheval à bascule,
Bondit vers la porte du monde
Ses yeux bleus brillants de lumière
Acclament le cerf-volant multicolore
De la promesse infinie des jours.
Hue dada !
La pendule tricoteuse s’active  
Elle monte les premières mailles
De son ouvrage.