La fillette aux doigts fuselés
Effeuillait une pâquerette
En fredonnant une comptine,
Tandis que sa jeune cousine
Tressait couronnes et colliers.
L’air frémissait de papillons
Et d’aigrettes de pissenlits.

(En écho à la belle phrase de Marcel Aymé : « Une voix de fillette, qui allait s’éloignant, chanta une chanson pleine de pâquerettes. »)


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