Les mains promènent
leur doigté énergétique
sur le corps.
L’huile moins chaude
y répand la détente.
L’ému accessible
énumère l’unicité
de l’essence
que je deviens
sur la voie.
Je suis un. (5.7.13)
La chaleur est innée.
Elle est en moi.
Je l’apprécie.
La joie s’adapte
à chaque minute.
Un banc s’installe.
La ville intérieure
est douillette
aux errances.
Être un peu, non en réalité augmentée,
mais en intense jouissance
de chaque instant qui se déroule sous les pieds.
Le temps n’a rien d’autre à faire avec moi. (8.7.13)