La passion affleure
au détour d’un regard.
La peau s’effleure:
la joie s’y répare.
L’action met à l’épure
l’ouvrière mémoire
déposée sur le papier
par d’antiques sourciers.
L’écoute frémit
au diapason de la vie.
La peur palpite
au lointain ennemi.
Dans ce cocon à l’appui,
souterrain et fertile,
L’homme qui va
fascine le sentier.
Il lui sourit.
Le tournant
l’éloigne
de la maison.
Il y pense.
Il s’y penche,
réjoui par
les battements de son cœur.
La terre tressaille,
l’œuvre du volcan,
sa pulsion l’y pousse.
Il s’en émeut et modère son pas.