Le printemps a trois mois
pour changer de caractère:
sa génétique climatique
passera-t-elle
de récessif à dominant ?
L’espérer ne fera rien à l’affaire.
L’attendre plus ou moins
impatiemment, non plus.
Prendre la vie qui va
ce jour.
Consommons moins
d’énergies fossiles;
éjectons moins de CH4
dans l’air
(le pet de vache au pré !)
en mangeant
moins de viande;
ménageons l’eau*…
Nous avons le printemps
que nous sommes.
Réduisons collectivement
notre empreinte écologique.
Cela passe par chacun de nous !
---
* etc.