La lumière bonifie la vie.
S’étage ainsi l’énergie.
L’intérieur y étaie sa mesure.

L’ancienne fêlure ajourée
laisse encore parfois poindre
un souci de retouches démesuré.

Le flux ne s’y perd point.
Il évite d’en agacer
le capiton sain.

Le soi étendu
à même le soleil relevé
rend au corps tout son dû.

Piaillements benêts,
joyeux et confus,
dans le ligustrum douillet.

Le corps pétille, ardu
dans l’air tiède ambiant.
Nulle aube n'est un déjà vu.

Ah, pouvoir y accrocher
la beauté du souvenir !
L'aventure temporelle

se concentre sur le présent,
avec la sérénité acquise
sous ces mains un peu miennes.


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