Se mettre en sourdine
efface le monde ébruité.
Une esquive aux abords de l'été.
Une fatigue résiduelle a narré
son histoire muette
pendant une heure de retrait.
Le faste jardinier resplendit à l'oeil,
se redresse à mesure que l'herbe haute,
par la grâce d'un carburateur défaillant,
cède tardivement le pas sous le ronron,
quelque peu poussif & délicat
desservi par les humains
programmant l'obsolescence des objets.
S'adapter: 4l d'essence à la fois
feront peut-être l'affaire
face aux dépôts apparemment délétères.
Cosmétique jardinière
assurée.
Une béance aux
contrastes colorés
de nuages au passage,
urgences ailées fendant
le bleu: nourrir la progéniture,
atavisme parental zélé.