Chaque spire, corps de soi,
s'inspire à même le vent,
soufflet perspirant, réel
en bandouillère arborescente
à l'ombre de leurs arceaux,
feuillus sur l'estive, vifs.
Jambes à l'écart,
pieds à l'ancrage,
parcours intérieur
s'expire sans partition,
en se dégageant
des décombres.