FOSSIONAUTE, explorateur de fosses intimes ?
Il entame cette (intro)mission
par la fossette mentonnière,
question de soigner sa diction.
Le nombril ferait aussi l’affaire.
Il touche au cœur des viscères,
là où la vie se serre.
Bien sûr, les fosses nasales
sont essentielles au respir’aise.
Progression vers le cul de basse fosse,
assez fessu, aux fossés calfeutrés
longeant ces chemins intérieurs…
Il est des fossettes aux joues comme
des tétines : elles se creusent à la succion.
Ça vous laisse sceptiques, hm, je le vois bien…