Ô toi mon herbe
qui pâlis au nom
des vents couverts,
par la grâce
de l’indiscipline
des flocons de neige
perdant la bataille
en suspension discontinue,
réchauffe ces
trajectoires hélicoïdales
si tu veux conserver ta verdeur !
Ô toi mon herbe
qui pâlis au nom
des vents couverts,
par la grâce
de l’indiscipline
des flocons de neige
perdant la bataille
en suspension discontinue,
réchauffe ces
trajectoires hélicoïdales
si tu veux conserver ta verdeur !