Ils se tiennent massifs dans la main du destin
Ils se perdent dans leur dédale de baratin
Les vents haut perchés les guident à l'unisson
L’arrosoir a mis son plus beau pommeau
Il se vide d’une eau si loin du point de fusion
L’horizon s’assombrit d’une charge brouillonne
Les mots marmonnent sans appeau si loin des émaux
L’agacerie glisse sur les vibrisses de la lionne.